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sexta-feira, 14 de janeiro de 2011

Renoir
En lisant quelques choses contradictoires…
Je crois que la dialectique c'est le moyen de bien étudier et de faire des bonnes observations en recherchant le commencement et la fin des choses, d'où elles viennent et où elles vont.
Contrairement à la métaphysique qui conçoit le monde comme un ensemble de choses figées, la dialectique verra le monde comme un ensemble de processus.
Le métaphysicien considèrent toutes choses achevées et non pas comme le commencement d’un nouveau processus… le récit de la création du monde par Dieu est une explication, du monde comme complexe de choses achevées - la théorie du fixisme.
La dialectique juge d’une façon opposée. Elle ne considère pas les choses en tant qu’objets fixés, mais en mouvement. Aucune chose ne se trouve achevée ; elle est toujours à la fin d’un processus, toujours en train de se transformer, de se développer.
Rien n’étant définitivement achevé…
Il ne faut pas oublier surtout le rôle des hommes qui peuvent avancer ou retarder cette transformation. Ce qu’est constaté actuellement, c’est l’existence en toutes choses d’enchainement de processus qui se produisent par la force interne des choses (l’autodynamisme).
L’abandon de l’esprit métaphysique était fait à causes des découvertes  (XIXe siècle) :
La découverte de la cellule vivante et sont développement ;
La découverte de la transformation de l’énergie;
La découverte de l’évolution chez l’homme et les animaux.
La science, la nature, la société doivent être vues comme un enchaînement de processus, et le moteur qui agit pour développer cet enchaînement, c’est l’autodynamisme (force qui vient de l’être lui-même.)

des notes de george politzer

Continuation…

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